[Travail plastique réalisé avec un scanner A4 sans retouches.]
Il s'agit là d'une idée de ce que je veux assez précise qui se délite avec la sueur de ne pas y arriver
puis l’acceptation des hasards qui surviennent et la transformation du savoir-faire en savoir laisser faire…
Faire du flou avec un outil de précision….détourner l’objet….
Suivre le rayon dans sa trajectoire et jouer avec lui, faire de son idée une erreur, sans le faire exprès mais maîtrisant les marges.
<.. ici l’impression a encore des chances de survie dans son interaction avec le numérique..le présent reste encore dans un mouvement, et donc ne se fige pas..il continue d’apparaitre organiquement..>Cyril Teste
C’est probablement parce que je ne comprends pas cette transformation du laser à l’émotion que je me sens pousser à faire, et à refaire…
<.le processus plus que le résultat>…
Mais c’est justement parce que tout le monde peut le faire que ça m’intéresse…Comme avoir un pinceau, de l’eau, de la peinture et une toile.
Ce n’est pas quelque chose d’obscur, au contraire, c’est la lumière qui vient (comme la photographie) se réfléchir sur un sujet mais elle est comprimée en un jet de 21 cm de longueur et à peine 1 mm de largeur…
La réalité se transfigure d’une captation laser aux 0 et 1 de la numérisation jusqu’à une reconstitution sur support physique qui achève l’oeuvre et tout cela sans qu’aucune retouche n’ait eu lieu d’aucun logiciel de montage
Il s'agit là d'une idée de ce que je veux assez précise qui se délite avec la sueur de ne pas y arriver
puis l’acceptation des hasards qui surviennent et la transformation du savoir-faire en savoir laisser faire…
Faire du flou avec un outil de précision….détourner l’objet….
Suivre le rayon dans sa trajectoire et jouer avec lui, faire de son idée une erreur, sans le faire exprès mais maîtrisant les marges.
<.. ici l’impression a encore des chances de survie dans son interaction avec le numérique..le présent reste encore dans un mouvement, et donc ne se fige pas..il continue d’apparaitre organiquement..>Cyril Teste
C’est probablement parce que je ne comprends pas cette transformation du laser à l’émotion que je me sens pousser à faire, et à refaire…
<.le processus plus que le résultat>…
Mais c’est justement parce que tout le monde peut le faire que ça m’intéresse…Comme avoir un pinceau, de l’eau, de la peinture et une toile.
Ce n’est pas quelque chose d’obscur, au contraire, c’est la lumière qui vient (comme la photographie) se réfléchir sur un sujet mais elle est comprimée en un jet de 21 cm de longueur et à peine 1 mm de largeur…
La réalité se transfigure d’une captation laser aux 0 et 1 de la numérisation jusqu’à une reconstitution sur support physique qui achève l’oeuvre et tout cela sans qu’aucune retouche n’ait eu lieu d’aucun logiciel de montage